"Tout ce qui n'est pas transmis... est perdu !"
Je vois la relation d’aide comme le rôle de sage-femme ou de philosophe antique : il s’agit de faire de la maïeutique, d’aider à accoucher. J’aime beaucoup le slogan d’une célèbre marque à trois bandes : « La victoire est en soi. » En effet, les réponses et les solutions sont en nous.
Par des exercices et le dialogue, le sociologue clinicien aide les personnes en demande à "accoucher" de leurs solutions : à faire des prises de conscience, à écouter leur petite voix intérieure plutôt que leurs peurs, à gagner en liberté en s'affranchissant des habitudes et des conditionnements.
Le sociologue clinicien se place à côté des personnes qu'il accompagne, pas au-dessus de la mêlée. Quand quelqu’un a du mal à nager, on l’aide en lui tendant la main, pas lui assénant un cours de natation ou en lui indiquant où se trouve la rive.
Pourquoi "coaching" entre guillemets ? "Coach" qui vient du mot « cocher ». Je ne considère pas les personnes que j’accompagne comme... des chevaux ou bien des passagers ! Ce n’est pas à moi de leur donner leur direction. Je les aide à trouver leur direction, nuance.
Je suis aussi très critique envers la façon dont le coaching est utilisé en entreprise.
Nous avons tous des soucis, des limites, des colères, des questionnements, des incompréhensions face à une situation ou au comportement d'une personne, un sentiment d'impuissance, des hésitations devant une décision à prendre, etc.
D'où le besoin, parfois, de se faire aider.
Dites-moi les questions que vous vous posez,
je vous dirai si je peux vous aider à y voir plus clair !
Dites-moi les difficultés que vous rencontrez,
je vous dirai si je peux vous aider à avancer !
Mieux se connaître, mieux se comprendre, mieux comprendre son entourage pro ou perso, prendre conscience de ses condi-tionnements et s'en défaire pour gagner en liberté et en légèreté.
Un regard extérieur bienveillant et constructif pour vous aider à faire les "bons" choix.